Nous imaginons un pays où l’on favorise le bien-être individuel et collectif, où l’on protège l’environnement et où l’on permet à chacun de vivre des moments de loisir enrichissants et accessibles. Le Cadre stratégique pour le loisir au Canada est notre passeport vers cet objectif.
Nous avons l’occasion de travailler ensemble de manière à permettre à toute la population canadienne de profiter de loisirs et de sorties en plein air dans un environnement physique et social propice.
Le Cadre rassemble le travail effectué par les responsables du sport, de l’activité physique récréative, des parcs, de l’environnement et de la santé. Il s’harmonise avec les politiques existantes comme Canada actif 20/20, Le vieillissement en santé au Canada et IndigènACTION (2010), et les complète.
Le Cadre est un appel à l’action qui invite les dirigeants, les intervenants et les partenaires de divers secteurs, ainsi que le grand public à collaborer sur des priorités communes, tout en respectant le caractère unique de chacun.
Les loisirs et la société ont considérablement évolué au cours des 50 dernières années. De nouveaux défis, tels que la technologie ou les inégalités économiques, ont une incidence sur les loisirs. Notre tâche consiste à transformer ces défis en opportunités.
Il n’y a plus de temps à perdre. Le Cadre stratégique offre l’occasion de reconnaître les approches traditionnelles tout en en créant de nouvelles afin d’assurer la pertinence continue des loisirs dans le cheminement continu vers le mieux-être au Canada.
Nous travaillons avec les municipalités, les gouvernements provinciaux et territoriaux, les parcs et les associations de loisirs, les établissements d’enseignement postsecondaire, les organismes bénévoles et à but non lucratif et le secteur privé pour atteindre les objectifs du Cadre. Chacun a un rôle à jouer et notre réussite doit passer par la coopération.
Même si le Cadre a principalement été rédigé pour le secteur des parcs et du loisir, sa mise en œuvre exige la collaboration d’une myriade de partenaires.Parmi ceux-là figurent les ministères et organismes à but non lucratif à tous les paliers, ainsi que le secteur privé. Il faut aussi mentionner les acteurs des domaines du sport, de l’activité physique, de la santé, de l’urbanisme, des affaires autochtones, du développement des infrastructures, du développement rural, des ressources naturelles, de la protection de la nature, des arts, de la culture, du développement social, du tourisme, de la justice, du patrimoine, du développement de l’enfant et de l’activité physique chez les personnes âgées.